08/02/2009
02/02/2009
De Roscoff à Carraroe
Le 4/05/2007
Partis de Roscoff le vendredi soir 21 h à bord du Pon Aven de la compagnie Brittany ferries, nous arrivons au port de Cork (Ringaskiddy) après treize heures de traversée.
Le trajet c'est bien déroulé mais nous arrivons dans un brouillard assez épais et la corne de brume du navire sonne régulièrement.
Le navire dérange de nombreux bancs de dauphins.
Nous apercevons enfin pour la première fois l'Irlande et la petite ville très colorée de Cobh.
Après avoir débarqué au port de Ringaskiddy, nous prenons la route jusqu'à Carraroe qui se situe dans le Connemara à environ 240 km de là et où nous avons loué une petite maison de vacances.
Le soleil nous quittera en fin de journée.
Partis de Roscoff le vendredi soir 21 h à bord du Pon Aven de la compagnie Brittany ferries, nous arrivons au port de Cork (Ringaskiddy) après treize heures de traversée.
Le trajet c'est bien déroulé mais nous arrivons dans un brouillard assez épais et la corne de brume du navire sonne régulièrement.
Le navire dérange de nombreux bancs de dauphins.
Nous apercevons enfin pour la première fois l'Irlande et la petite ville très colorée de Cobh.
Après avoir débarqué au port de Ringaskiddy, nous prenons la route jusqu'à Carraroe qui se situe dans le Connemara à environ 240 km de là et où nous avons loué une petite maison de vacances.
Le soleil nous quittera en fin de journée.
01/02/2009
Gorumna island
En ce premier jour véritablement à Carraoe pas beaucoup de déplacement, nous essayons de nous repérer un peu car dans cette région la côte est tellement découpée que cela se mélange avec les lacs et les tourbières inondés.
Carraoe se dit An Cheatrù Ruaen ce qui signifie en gaélique "coin zone rouge", ce nom est du à la teinte de la bruyère qui colore la région.
Nous décidons d'aller jusqu'à Gorumna island en passant par Lettermore island.
Ces deux iles sont reliées à la côte par des petits ponts.
Aucun touriste sur ces iles. Nous imaginons que la vie doit être difficile par ici.
La pluie ne nous ayant pas quitté de l'après midi nous rentrons sur Carraroe au moment où les éclaircies arrivent.
Carraoe se dit An Cheatrù Ruaen ce qui signifie en gaélique "coin zone rouge", ce nom est du à la teinte de la bruyère qui colore la région.
Nous décidons d'aller jusqu'à Gorumna island en passant par Lettermore island.
Ces deux iles sont reliées à la côte par des petits ponts.
Aucun touriste sur ces iles. Nous imaginons que la vie doit être difficile par ici.
La pluie ne nous ayant pas quitté de l'après midi nous rentrons sur Carraroe au moment où les éclaircies arrivent.
Connemara
Aujourd'hui c'est le grand jour nous prenons la direction de Clifden capitale du Connemara et ses magnifiques paysages.
Nous nous dirigeons aussitôt vers la Sky Road car le ciel s'éclaircit au loin vers l'océan, Bien nous en prend car effectivement le soleil est bien là au rendez vous pour le plaisir des yeux et la Sky Road porte bien son nom.
Après avoir gouté une Guiness, un bon repas et pour finir un Irish coffee, nous allons faire une balade dans le parc national du Connemara avant de poursuivre vers l'abbaye de Kyllemore que nous ne visiterons pas car les prix sont un peu élevés à notre goût.
Le parc national du Connemara a une superficie d'environ 2000 hectares. Il est notamment composé des 12 plus hauts pics de la région, appelés également Twelve Bens, culminants à 728 mètres d'altitude.
Le château de Kylemore fut construit en 1868 sous les ordres du négociant et politicien Mitchell Henry, qui voulait en faire un cadeau de noces pour sa femme Margaret. Maintenant, c'est une abbaye bénédictine depuis en 1920.
Puis nous retournons à Carraoe en passant par Joyce Country, région à cheval sur le comté de Galway et le comté de Mayo.
la Rivière Joyce qui coule dans une vallée entre Leenane et Maum donne son nom à cette région.
Nous nous dirigeons aussitôt vers la Sky Road car le ciel s'éclaircit au loin vers l'océan, Bien nous en prend car effectivement le soleil est bien là au rendez vous pour le plaisir des yeux et la Sky Road porte bien son nom.
Après avoir gouté une Guiness, un bon repas et pour finir un Irish coffee, nous allons faire une balade dans le parc national du Connemara avant de poursuivre vers l'abbaye de Kyllemore que nous ne visiterons pas car les prix sont un peu élevés à notre goût.
Le parc national du Connemara a une superficie d'environ 2000 hectares. Il est notamment composé des 12 plus hauts pics de la région, appelés également Twelve Bens, culminants à 728 mètres d'altitude.
Le château de Kylemore fut construit en 1868 sous les ordres du négociant et politicien Mitchell Henry, qui voulait en faire un cadeau de noces pour sa femme Margaret. Maintenant, c'est une abbaye bénédictine depuis en 1920.
Puis nous retournons à Carraoe en passant par Joyce Country, région à cheval sur le comté de Galway et le comté de Mayo.
la Rivière Joyce qui coule dans une vallée entre Leenane et Maum donne son nom à cette région.
Le Burren
Aujourd'hui nous allons dans le Burren.
Le Burren (en gaélique An Bhoireann, "le pays pierreux") est un plateau désertique de karst situé au nord ouest du Comté de Clare. Cet ensemble de roches sédimentaires fait environ 300 km²
Cette région voit se développer côte à côte des espèces végétales méditerranéennes et alpines. La fleur symbole des Burren est d’ailleurs la gentiane bleue, une plante que l’on trouve généralement dans les Alpes.
La petite histoire veut que l’on en fit cette description à Cromwell :
"Pas assez d'eau pour noyer un homme, pas assez de bois pour le pendre, pas assez de terre pour l'enterrer"
En passant par la côte et Black Head, nous rencontrons de très jolis cottages avant d'arriver aux falaises de Moher.
Impressionnantes falaises atteignant 214 mètres de haut sur 8 km de long, un chemin est aménagé jusqu'à la tour O'Brien. Malgré les conditions météo pas très bonnes, nous apercevons les Iles d'Aran ou nous irons après demain.
Pour le retour, nous passons par le centre du Burren pour visiter St Fachtnan's Cathedral. Malgré sa petite taille le nom de cathédrale fût retenu car Kilfenora en 1152 formait le plus petit des diocèses de toute l'Irlande.
Nous poursuivons notre route en passant auprès Carran Church puis le dolmen de Poulnabrone où 33 corps datant de 4200 à 2900 avant JC ont été exhumés.
Le paysage ici est le plus minéral de tout le Burren.
Avant de retrouver mes nouveaux amis Irlandais, une dernière halte devant Dunguaire Castle.
Le Burren (en gaélique An Bhoireann, "le pays pierreux") est un plateau désertique de karst situé au nord ouest du Comté de Clare. Cet ensemble de roches sédimentaires fait environ 300 km²
Cette région voit se développer côte à côte des espèces végétales méditerranéennes et alpines. La fleur symbole des Burren est d’ailleurs la gentiane bleue, une plante que l’on trouve généralement dans les Alpes.
La petite histoire veut que l’on en fit cette description à Cromwell :
"Pas assez d'eau pour noyer un homme, pas assez de bois pour le pendre, pas assez de terre pour l'enterrer"
En passant par la côte et Black Head, nous rencontrons de très jolis cottages avant d'arriver aux falaises de Moher.
Impressionnantes falaises atteignant 214 mètres de haut sur 8 km de long, un chemin est aménagé jusqu'à la tour O'Brien. Malgré les conditions météo pas très bonnes, nous apercevons les Iles d'Aran ou nous irons après demain.
Pour le retour, nous passons par le centre du Burren pour visiter St Fachtnan's Cathedral. Malgré sa petite taille le nom de cathédrale fût retenu car Kilfenora en 1152 formait le plus petit des diocèses de toute l'Irlande.
Nous poursuivons notre route en passant auprès Carran Church puis le dolmen de Poulnabrone où 33 corps datant de 4200 à 2900 avant JC ont été exhumés.
Le paysage ici est le plus minéral de tout le Burren.
Avant de retrouver mes nouveaux amis Irlandais, une dernière halte devant Dunguaire Castle.
Achill Island
Aujourd'hui pas mal de Km prévus pour aller sur Achill Island, mais pas de chance ce sera la journée la moins agréable car la pluie ne nous lâchera pas de l'après midi.
L'île d'Achill dans le Comté de Mayo est la plus large île d’Irlande, et est située au large de la côte ouest. Sa population est de 2700 habitants.
L’île est recouverte à 87 % de tourbières. La paroisse d’Achill inclut également la péninsule de Corraun.
l'idée en allant sur Achill était d'aller voir les falaises du Croaghaun sur la côte nord ouest de l’île qui sont les plus hautes falaises maritimes d’Europe (688 m) mais elles sont inaccessibles par la route et la météo était vraiment trop mauvaise pour faire une rando, nous avons seulement fait le tour de l'ile en voiture.
Par endroit nous avons l'impression d'être entourés de volcans.
Pour le retour nous avons bifurqué à Westport (très jolie ville) en direction de Lough Mask pour longer ce lac . La région nous a semblé magnifique malgré les trompes d'eau qui tombaient.
L'île d'Achill dans le Comté de Mayo est la plus large île d’Irlande, et est située au large de la côte ouest. Sa population est de 2700 habitants.
L’île est recouverte à 87 % de tourbières. La paroisse d’Achill inclut également la péninsule de Corraun.
l'idée en allant sur Achill était d'aller voir les falaises du Croaghaun sur la côte nord ouest de l’île qui sont les plus hautes falaises maritimes d’Europe (688 m) mais elles sont inaccessibles par la route et la météo était vraiment trop mauvaise pour faire une rando, nous avons seulement fait le tour de l'ile en voiture.
Par endroit nous avons l'impression d'être entourés de volcans.
Pour le retour nous avons bifurqué à Westport (très jolie ville) en direction de Lough Mask pour longer ce lac . La région nous a semblé magnifique malgré les trompes d'eau qui tombaient.
Inishmore (iles d'Aran)
Nous embarquons à partir du port de Rossaveal (situé à 40 km à l'ouest de Galway) en direction d'Inishmore, la plus grande des iles d'Aran. La tempête ayant soufflé toute la nuit, nous avons un peu d'appréhension, allons nous avoir le mal de mer ?
Eh bien non, mais ce n'était pas le cas de tout le monde sur le bateau. Au début cela était marrant mais plus on sortait de la bais de Galway, plus le bateau était chahuté.
Pour moi qui était sur le pont supérieur, impossible de redescendre rejoindre ma femme qui était en bas. J'ai filmé avec mon appareil photo pour avoir une petite idée de la situation.
Inishmore (grande île) en irlandais, est la plus grande, 14 km de long sur 3 km de large et la plus à l'Ouest des îles de l'archipel des îles d’Aran (en gaélique Oileáin Árann) qui sont un groupe d’îles situées à l’embouchure de la baie de Galway, à 17 km de la côte ouest de l’Irlande.
Inishmore est l’île la plus peuplée avec 831 habitants.
Arrivés dans le port de Kilronan qui est le principal village de l’archipel avec 270 habitants, nous avons pris un mini bus qui soit disant nous faisait visiter l'ile pendant trois heures. En fait il nous dépose à Dun Aengus (le fort préhistorique ) pendant 2h30, ensuite il nous fait faire une petite visite d'une partie de l'ile avant de nous ramener au port et tout ça pour la modique somme de 10€ par personne. Moi j'appelle ça du vol.
Pour le reste, c'était génial.
Dún Aengus est un site archéologique important, à la vue spectaculaire. On ne sait pas exactement quand il fut construit, mais on pense qu'il date de l'Âge du fer ou de la fin de l’âge du bronze.
À l'origine, ce fut probablement un ringfort (un fort en anneau) circulaire, sa situation précaire actuelle étant le résultat de plusieurs siècles d'érosion marine.
Dún Aengus a été appelé « le monument barbare le plus magnifique d'Europe. Ce nom signifie « le fort d'Aengus », dieu éponyme pré-chrétien décrit dans la mythologie celtique irlandaise.
Le fort se compose d'une quadruple enceinte en pierres sèches, le mur le plus interne enserrant un espace de quatre hectares. Certaines parties de la maçonnerie subsistante font quatre mètres de hauteur. Comme une partie de la falaise et du fort s'est depuis effondrée dans la mer, on ne sait pas si la forme originelle était ovale ou en forme de D. À l'extérieur du troisième mur d'enceinte, de très nombreuses pierres dressées, bien conservées, forment des chevaux de Frise, dont le rôle défensif était d’empêcher les attaques d’assaillants, principalement de cavaliers. Il y a aussi à l'intérieur des ruines une énorme dalle rectangulaire, dont la fonction nous demeure inconnue. Étonnamment vaste pour une ruine préhistorique, le mur le plus externe enferme une surface d'environ 6 hectares. Bien que d'apparence nettement défensive, l'emplacement particulier de Dún Aengus suggère que son usage premier était religieux et cérémoniel plutôt que militaire. Il peut avoir été utilisé par les druides pour des rites saisonniers, comportant des feux cérémoniels, visibles depuis la côte irlandaise. L'emplacement procure aussi une vue sur pas moins de 120 km de côtes, ce qui pouvait permettre de contrôler une importante voie commerciale côtière.
Les murs de Dún Aengus ont été reconstruits à une hauteur de 6 m, avec des chemins de ronde, des salles et des escaliers. L'usage du mortier permet de distinguer aisément la restauration de la construction originelle. Explorer Dún Aengus demande un peu d'escalade, et il n'y a pas de garde-fou au bord de la falaise, aussi ce n'est pas l'endroit à visiter avec de jeunes enfants ou avec des personnes à mobilité réduite. Il existe un petit musée illustrant l'histoire du fort et ses fonctions possibles.
Sources : Wikipédia
Ensuite un arrêt aux sept églises, endroit étrange où les petites églises sont construites les unes à coté des autres et même paraissent enchevêtrées.
Nous avons pris en photo la maison où vécut Robert Joseph Flaherty pendant le tournage du film "The man of Aran".
Le soleil nous a accompagné un moment, le temps de distinguer le Connemara à l'horizon et ensuite de ramasser des superbes bigorneaux auprès de Kilronan (un bon repas le soir)
Le retour fut beaucoup plus calme, mais nous ne pouvons nous empêcher de penser aux gens qui on vécut sur ces iles dans des conditions très difficiles.
Les historiens ont du mal à connaître la véritable raison pour laquelle des hommes se sont installés sur ces îles inhabitables. Ce qui est sûr, c’est qu’ils se sont attachés à les rendre cultivables, en creusant pendant des siècles des sillons dans la roche, en y mêlant des algues et du sable qui en pourrissant formèrent un humus propice à la culture de la pomme de terre et au développement d’herbe grasse, un régal pour le bétail. Avec la roche extraite du sol, ils construisirent des murets de pierre à perte de vue (on évalue à 1 600 kilomètres la longueur totale des murets sur les 3 îles !), dont le rôle était de limiter l’érosion par le vent et de contenir le bétail.
Sources : http://www.terresceltes.net/Iles-d-Aran-Aran-Islands.html
Eh bien non, mais ce n'était pas le cas de tout le monde sur le bateau. Au début cela était marrant mais plus on sortait de la bais de Galway, plus le bateau était chahuté.
Pour moi qui était sur le pont supérieur, impossible de redescendre rejoindre ma femme qui était en bas. J'ai filmé avec mon appareil photo pour avoir une petite idée de la situation.
Inishmore (grande île) en irlandais, est la plus grande, 14 km de long sur 3 km de large et la plus à l'Ouest des îles de l'archipel des îles d’Aran (en gaélique Oileáin Árann) qui sont un groupe d’îles situées à l’embouchure de la baie de Galway, à 17 km de la côte ouest de l’Irlande.
Inishmore est l’île la plus peuplée avec 831 habitants.
Arrivés dans le port de Kilronan qui est le principal village de l’archipel avec 270 habitants, nous avons pris un mini bus qui soit disant nous faisait visiter l'ile pendant trois heures. En fait il nous dépose à Dun Aengus (le fort préhistorique ) pendant 2h30, ensuite il nous fait faire une petite visite d'une partie de l'ile avant de nous ramener au port et tout ça pour la modique somme de 10€ par personne. Moi j'appelle ça du vol.
Pour le reste, c'était génial.
Dún Aengus est un site archéologique important, à la vue spectaculaire. On ne sait pas exactement quand il fut construit, mais on pense qu'il date de l'Âge du fer ou de la fin de l’âge du bronze.
À l'origine, ce fut probablement un ringfort (un fort en anneau) circulaire, sa situation précaire actuelle étant le résultat de plusieurs siècles d'érosion marine.
Dún Aengus a été appelé « le monument barbare le plus magnifique d'Europe. Ce nom signifie « le fort d'Aengus », dieu éponyme pré-chrétien décrit dans la mythologie celtique irlandaise.
Le fort se compose d'une quadruple enceinte en pierres sèches, le mur le plus interne enserrant un espace de quatre hectares. Certaines parties de la maçonnerie subsistante font quatre mètres de hauteur. Comme une partie de la falaise et du fort s'est depuis effondrée dans la mer, on ne sait pas si la forme originelle était ovale ou en forme de D. À l'extérieur du troisième mur d'enceinte, de très nombreuses pierres dressées, bien conservées, forment des chevaux de Frise, dont le rôle défensif était d’empêcher les attaques d’assaillants, principalement de cavaliers. Il y a aussi à l'intérieur des ruines une énorme dalle rectangulaire, dont la fonction nous demeure inconnue. Étonnamment vaste pour une ruine préhistorique, le mur le plus externe enferme une surface d'environ 6 hectares. Bien que d'apparence nettement défensive, l'emplacement particulier de Dún Aengus suggère que son usage premier était religieux et cérémoniel plutôt que militaire. Il peut avoir été utilisé par les druides pour des rites saisonniers, comportant des feux cérémoniels, visibles depuis la côte irlandaise. L'emplacement procure aussi une vue sur pas moins de 120 km de côtes, ce qui pouvait permettre de contrôler une importante voie commerciale côtière.
Les murs de Dún Aengus ont été reconstruits à une hauteur de 6 m, avec des chemins de ronde, des salles et des escaliers. L'usage du mortier permet de distinguer aisément la restauration de la construction originelle. Explorer Dún Aengus demande un peu d'escalade, et il n'y a pas de garde-fou au bord de la falaise, aussi ce n'est pas l'endroit à visiter avec de jeunes enfants ou avec des personnes à mobilité réduite. Il existe un petit musée illustrant l'histoire du fort et ses fonctions possibles.
Sources : Wikipédia
Ensuite un arrêt aux sept églises, endroit étrange où les petites églises sont construites les unes à coté des autres et même paraissent enchevêtrées.
Nous avons pris en photo la maison où vécut Robert Joseph Flaherty pendant le tournage du film "The man of Aran".
Le soleil nous a accompagné un moment, le temps de distinguer le Connemara à l'horizon et ensuite de ramasser des superbes bigorneaux auprès de Kilronan (un bon repas le soir)
Le retour fut beaucoup plus calme, mais nous ne pouvons nous empêcher de penser aux gens qui on vécut sur ces iles dans des conditions très difficiles.
Les historiens ont du mal à connaître la véritable raison pour laquelle des hommes se sont installés sur ces îles inhabitables. Ce qui est sûr, c’est qu’ils se sont attachés à les rendre cultivables, en creusant pendant des siècles des sillons dans la roche, en y mêlant des algues et du sable qui en pourrissant formèrent un humus propice à la culture de la pomme de terre et au développement d’herbe grasse, un régal pour le bétail. Avec la roche extraite du sol, ils construisirent des murets de pierre à perte de vue (on évalue à 1 600 kilomètres la longueur totale des murets sur les 3 îles !), dont le rôle était de limiter l’érosion par le vent et de contenir le bétail.
Sources : http://www.terresceltes.net/Iles-d-Aran-Aran-Islands.html
Galway et retour en France
Dernier jour dans le Connemara, nous allons visiter Galway.
Pour tout vous dire, nous sommes assez déçus de cette petite ville qui doit être très agréable la nuit avec l'ambiance des pubs, mais dans la journée, on remarque surtout cette poubelle à ciel ouvert qu'est la rivière Corrib ainsi que le canal.
On peut y faire ces courses sans problème car l'on y trouve de tout même des caddies.
En règle général nous avons trouvé cette région Magnifique mais hélas assez sale.
Je me souviens encore des poubelles jetés dans une crique de Achill Island. Vu la quantité, je suppose que l'ile est nettoyée mais la mer sert de poubelle.
Le lendemain nous retournons vers Ringaskiddy et en attendant l'embarquement nous allons à Crosshaven situé à l'embouchure de la baie de Cork.
Le ferry s'engage vers la mer poursuivit par une vedette du port de Cork (qui pendant quelques minutes fait la course avec une autre vedette), surement pour récupérer son pilote.
Si l'on revient en Irlande un jour ce sera du côté du Kerry.
Et voilà retour à la réalité, encore treize heures et nous serons en France.
Good Bye
Pour tout vous dire, nous sommes assez déçus de cette petite ville qui doit être très agréable la nuit avec l'ambiance des pubs, mais dans la journée, on remarque surtout cette poubelle à ciel ouvert qu'est la rivière Corrib ainsi que le canal.
On peut y faire ces courses sans problème car l'on y trouve de tout même des caddies.
En règle général nous avons trouvé cette région Magnifique mais hélas assez sale.
Je me souviens encore des poubelles jetés dans une crique de Achill Island. Vu la quantité, je suppose que l'ile est nettoyée mais la mer sert de poubelle.
Le lendemain nous retournons vers Ringaskiddy et en attendant l'embarquement nous allons à Crosshaven situé à l'embouchure de la baie de Cork.
Le ferry s'engage vers la mer poursuivit par une vedette du port de Cork (qui pendant quelques minutes fait la course avec une autre vedette), surement pour récupérer son pilote.
Si l'on revient en Irlande un jour ce sera du côté du Kerry.
Et voilà retour à la réalité, encore treize heures et nous serons en France.
Good Bye
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